10 films d'action incroyables qui n'ont pas utilisé de CGI

Films d'action sont le pain et le beurre d'Hollywood. Ils ont juste assez d'action pour faire monter l'adrénaline que les gens paieront pour les regarder, qu'ils soient drôles ou sombres, ancrés dans la réalité ou remplis d'éléments surnaturels, formidables ou tout simplement horribles.

En cette époque où tout est numérisé, il peut être difficile à retenir à quoi ressemblaient les films d'action avant CGI, bullet time ou le phénomène galvaudé de la caméra tremblante. Mais cela ne veut pas dire qu'il n'y avait pas de grands films d'action. Cela signifie simplement qu'ils devaient compter sur le jeu d'acteur, la cinématographie, travail de cascade, et solide scripts au lieu de graphiques pixelisés brillants. Voici dix films d'action incroyables qui ne contiennent aucun CGI.

10 Sale Harry (1971)

Pour commencer fort, commençons par l'un des plus grands rôles de l'impressionnante carrière de Clint Eastwood, Dirty Harry. Ce film néo-noir parle d'un flic qui ne respecte pas les règles et transporte un magnum de 0,44 dans les rues de LA alors qu'il poursuit un tueur.

Bien que les films glorifiant la brutalité policière ne vieillissent pas bien, cela reste un chef-d'œuvre du cinéma et a des rythmes d'action incroyablement tendus. La célèbre scène « vous sentez-vous chanceuse » est toujours citée plus de quarante ans après la sortie du film libération, tandis que le personnage principal qui inflige des abus avec son canon à main surdimensionné est un Américain icône.

9 Sept Samouraïs (1954)

L'un des plus grands films jamais réalisés, Sept Samouraïsa plus que mérité sa place dans la collection Criterion. Réalisé par le génie du cinéma Akira Kurosawa et mettant en vedette ses collaborateurs de longue date Takashi Shimura et Toshiro Mifune, ce film d'action suit un groupe de samouraï qui protègent un village paysan des bandits pendant l'ère Sengoku au Japon (souvent traduit par les Royaumes combattants Point final).

Chaque combat dans ce film est à couper le souffle; le public ressent la douleur et la lutte lorsque les personnages saignent. Il y a un désespoir sauvage chez ces personnages qui se battent pour leur survie même. Pour se préparer à son rôle de rônin espiègle, Mifune étudie les mouvements des lions pour imiter leurs mouvements sauvages de lopping. La seule entrée en noir et blanc de cette liste, c'est probablement le plus grand film de samouraï jamais réalisé.

8 James Bond: L'Homme au pistolet d'or (1974)

Quelle liste de films d'action serait complète sans inclure au moins un Lier film? Après tout, l'agent secret James Bond est ce mélange parfait d'un guerrier froid et dur à la bagarre avec le gentleman débonnaire sirotant un martini suave.

Bien sûr, comme beaucoup de films plus anciens, certains films de Bond vieillissent vraiment mal. Tandis que L'homme au pistolet d'or n'est pas sans défauts, c'est un film avec des rebondissements, de l'humour, et le méchant cool mais décalé Francisco Scaramanga (joué par Christopher Lee). Les scènes d'arts martiaux de ce film sont parmi les meilleurs combats rapprochés de la franchise Bond.

7 Entrez le Dragon (1973)

Aucune star de cinéma d'artistes martiaux n'est plus renommée que le légendaire Bruce Lee. Il y a de bonnes raisons pour cela. Fondateur de l'école de kung fu Jeet Kune Do, Lee a été formé à l'école de Wing Chun par une autre légende des arts martiaux, Ip homme. Connu pour faire ses propres cascades, Lee était une merveille à voir, ses mouvements fluides rapides frappant avec une vitesse fulgurante et une précision de maître.

Entrez le Dragon était le dernier film terminé par Lee avant sa mort, ce qui est sans aucun doute l'une des raisons du succès du film, mais il est toujours amusant de le regarder des décennies plus tard.

6 Premier sang (1982)

Le personnage de Jean Rambo est largement connu de nos jours comme un vétéran de guerre grisonnant joué par Sylvester Stallone qui chasse ses ennemis avec des ceintures de munitions suspendues à son corps musclé. Le personnage a fait ses débuts au cinéma dans Premier sang.

Bien que certains des films de cette liste n'aient pas bien vieilli, ce film s'améliore en fait avec le temps. Dans Premier sang, Rambo est un vétéran de la guerre du Vietnam sans abri qui est horriblement maltraité par un shérif d'une petite ville, lui faisant revivre des flashbacks de la torture qu'il a subie en tant que prisonnier de guerre. Lorsque Rambo se défend, il tue accidentellement un homme et est donc traqué alors que le shérif appelle des renforts. Ce film est devenu de plus en plus pertinent avec le temps.

5 Superman: le film (1978)

Les super-héros sont partout de nos jours mais c'est un phénomène assez nouveau. Pendant longtemps, les films de super-héros étaient connus pour être notoirement mauvais. Avant cela, ce n'étaient que des raretés, presque invisibles parmi les différentes productions hollywoodiennes sorties chaque année. L'un des premiers films de super-héros grand public a été Superman: Le film.

Mettant en vedette Christopher Reeve en tant que héros titulaire de Krypton, le film a capturé à la fois la force et vertu du personnage principal tout en réussissant à contraster sa vie de super-héros avec son secret identité. Bien que l'action ne soit peut-être pas exaltante par rapport aux normes d'aujourd'hui, c'est toujours le meilleur surhomme en direct à ce jour.

4 Batman (1989)

Si Superman est le symbole de l'espoir brillant dans le monde de DC Comics, Homme chauve-souris est le sombre chevalier noir qui traque le crime dans l'ombre. Le public le sait de nos jours, mais dans les années 1980, la plupart des gens considéraient Batman comme le héros loufoque de l'émission télévisée campy des années 60. C'est ce qui a fait de Tim Burton Homme chauve-souris film tellement incroyable: pour la première fois, l'apparence à l'écran de Batman était aussi sombre que son homologue de la bande dessinée.

Il y a un mélange amusant de comique loufoque de l'âge d'argent et de brouhaha urbain des années 80 dans le ton de ce film. Cela dit, alors que Burton est connu pour rejeter la bande dessinée en tant que forme d'art, il a eu le bon ton des décennies avant ses pairs.

3 Akira (1988)

À l'époque où les studios d'animation occidentaux étaient occupés à faire le prochain flop de l'âge des ténèbres de Disney, le Japon avait déjà commencé à fabriquer films d'animation intenses pour adultes. Akira était l'un des nombreux classiques dystopiques cyberpunk à émerger à la même époque, mais c'est de loin le meilleur.

Des gangs de motards en guerre de jeunes privés de leurs droits à l'État militaire écrasant les droits civils, aux Aum-comme les sectes apparues à l'ère post-nucléaire, c'est l'un des films d'action les plus intelligents à avoir jamais déconstruit des problèmes sociaux ou philosophiques. Le combat d'ouverture à moto n'est qu'une des nombreuses scènes qui ne manquent jamais de provoquer des frissons chez son public.

2 Les guerriers (1979)

L'intrigue de Les guerriers commence avec le gang le plus puissant de New York, les Gramercy Riffs, essayant d'unifier tous les gangs de la ville. Lorsque le chef des Riffs, Cyrus, est assassiné, un gang beaucoup plus petit appelé les Warriors est faussement blâmé. Leur chef est tué et le groupe doit se frayer un chemin à travers toute la ville pour regagner sa maison à Coney Island.

En tant que membres de gangs violents, les personnages principaux ne sont pas bons, mais ils sont toujours sympathiques. Fait intéressant, ce travail est basé sur le livre classique Anabase de l'ancien général grec Xénophon, ce qui en fait un conte intemporel.

1 Mourir fort (1988)

Ces dernières années, plusieurs films ont travaillé à réinventer le genre d'action. La matrice a mis les équipes de fil et le bullet time au premier plan. L'identité de Bourne introduit la caméra tremblante. John Wick offert cascades intenses précises dans de longs plans nets centrés sur les acteurs. Mais avant tout cela, il y avait Mourir fort.

Ce film comprend comment utiliser son noyau pour mettre l'accent sur les rythmes émotionnels et sait comment créer une tension entre le protagoniste et le méchant. C'est aussi l'un des premiers films à limiter le nombre de balles dont dispose un personnage. Si cela ne suffit pas d'une approbation, Mourir fort reste le la plus grande histoire de Noël jamais racontée.

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