Ces roues pour le Moon Rover de la NASA, contrairement à tout ce qui a été fait auparavant

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Nasa vient de terminer de tester les nouvelles roues que le rover Artemis Moon utilisera pour sa mission. Concevoir des roues pour les rovers interplanétaires et les environnements lunaires est l'un des défis les plus importants des ingénieurs de la NASA. S'il y a quelque chose qu'ils veulent bien faire, ce sont les roues. Des routiers comme Spirit ont obtenu leur roues coincées dans le sable et y mourut.

La mission Artémis Lune marque le retour de l'humanité sur la lune. L'effort comprend une série de lancements. Artemis I, une mission sans équipage devrait être lancée en mars ou avril. L'objectif principal d'Artemis est d'établir une base internationale sur la Lune. Le VIPER, un rover à la recherche d'eau, a récemment passé avec succès son examen critique de conception, ce qui signifie que le rover passe de la conception à la construction.

La NASA a annoncé que les nouvelles roues du rover VIPER ont réussi toutes les simulations et sont prêts à rouler. Alors, comment doivent être les roues d'un chercheur d'eau d'une demi-tonne, d'un foreur lunaire ou d'un rover nocturne pour survivre à une mission sur la lune? La NASA a proposé un design jamais utilisé sur aucun rover auparavant pour répondre à cette question. La roue est creuse, et au lieu d'un pneu, elle a des chenilles

comme un char militaire. Il y a deux raisons à la conception. Premièrement, la taille et le poids du VIPER, et deuxièmement, il roulera sur la lune.

Pistes roulantes sous le vent solaire et un gâchis de poussière

La NASA teste la roue de VIPER

Les plans définitifs approuvés de VIPER indiquent que le rover pèse précisément 992 livres. C'est 0,4 tonne. Avec des vitesses de 0,5 miles par heure, VIPER ne se déplace pas vite, mais il n'est pas conçu pour la course. Au lieu de cela, le rover transporte une charge utile importante avec une batterie de 450 watts à charge solaire, les tout premiers phares montés sur un rover, un équipement photo complet et de nombreux matériel scientifique et de communication.

VIPER et les chars militaires ont plus en commun qu'on ne le pense. Ce sont tous deux des véhicules lourds, ils transportent beaucoup de poids pour leur taille et roulent sur des terrains accidentés. Dans les véhicules lourds, les chenilles augmentent la surface de contact et empêchent la voiture de s'enfoncer dans le sol. La NASA admet qu'ils ne sont pas "Je sais très bien à quoi s'attendre du sol dans les régions polaires." Ils ont donc décidé de donner au rover des roues tout-terrain robustes. Chacune des quatre roues du rover est indépendante, peut diriger, conduire et servir de suspension. VIPER peut se déplacer en diagonale, latéralement et tourner en cercle.

Mais VIPER affrontera un petit ennemi qu'aucun char militaire n'a jamais affronté: de la poussière lunaire chargée d'électricité statique. Pendant la mission Apollo sur la Lune, les astronautes se sont fortement plaints de la façon dont la poussière s'est infiltrée dans tout, des combinaisons spatiales aux joints d'engrenage, au rover et même à leur habitat lunaire. Parce que la lune n'est pas protégée par une atmosphère, le vent solaire bat constamment à sa surface, la chargeant d'électricité statique. Néanmoins, l'équipe de roues de VIPER assure qu'ils ont testé sur le sable et sur le terrain, et que leurs roues sont prêtes à l'emploi. Nasa simulé plus de 25 miles de conduite. La roue a grimpé en simulant une pente de lune, a échappé à des glissades et a fait face à une batterie de différentes distributions de roches.

La source: Nasa

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